Wonderwall...

J’en étais où. Ah oui, la dernière fois je portais au pinacle un humoriste passionnant. Depuis, de l’eau a glissé sur les toits. Et ça va continuer, si j’en crois ce que viens de me dire le gars bien mis de la météo. Raison de plus pour faire un petit tour de La Chose qui préoccupe ce blog.

La rentrée qui arrive à grands pas est annonciatrice de nouveautés alléchantes et d’anciennetés (allez)chiantes. Pour le neuf, le beau (je subodore car je n’ai pas pu juger sur pièces), j’ai retenu Prison Break, la série diffusée à partir d’août 2005 sur la shane (je sais, ce n’est plus de l’amour, c’est de la rage) américaine Fox, qui arrive sur nos écrans à la touche 6 un an après (le 31 août 2006 pour être précis).

D’après ce que j’ai pu lire ici et là (surtout là), le pitch est assez simple. C’est celui-ci : un garçon nommé Michael Scofield (incarné par le beau gosse tatoué sur la photo promo fournie par la Fox) décide de se faire incarcéré dans le pénitencier dans lequel se trouve son frère qui ronge son frein dans le couloir sans lumière de la mort. Le croyant innocent, il choisi cette solution ultime et radicale pour le sortir de là. J’attends cela avec impatience. J’ai toujours pensé que sont les dispositifs les plus simples qui font les meilleurs séries. Je ne regrette qu’un truc : la VF que va nous proposer M6…

Je joins quelques images qui bougent péchées chez les YouTubers et je reviens pour vous causer chansons…

(voir aussi ce site français plutôt bien foutu : http://prisonbreak.hypnoweb.net/)